J'ai déjà entendu parler d'un genre d'humain non dormeur et qui mare les vrais humains.
Voici une référence: http://fr.wikipedia.org/wiki/Vampire
vendredi 23 décembre 2011
la licorne
J'ai déjà entendu parler d'une sorte de cheval à corne, à ailes pouvant volé et avec pouvoirs magiques.
Voici une référence: http://fr.wikipedia.org/wiki/Licorne
Voici une référence: http://fr.wikipedia.org/wiki/Licorne
mercredi 21 décembre 2011
prochaine légende et le temps des fêtes...
Allô à vous,
Je vous anonce que demain sa sera quel légende... ...la légende du vampire!!
Je vous anonce que vendredi sa sera quel légende... ...la légende de la licorne!!
Je vous anonce aussi que du 24 décembre 2011 au 9 janvier 2012 il n'y auras aucune légende(s) ou mythe(s) publier par Mimie (moi-même), vous pouvez tout de même vous inscrire et vous en publier une mythe ou légende non mise sur le site!
Merci de votre compréhension et à demain!!!
Mimie <3
Je vous anonce que demain sa sera quel légende... ...la légende du vampire!!
Je vous anonce que vendredi sa sera quel légende... ...la légende de la licorne!!
Je vous anonce aussi que du 24 décembre 2011 au 9 janvier 2012 il n'y auras aucune légende(s) ou mythe(s) publier par Mimie (moi-même), vous pouvez tout de même vous inscrire et vous en publier une mythe ou légende non mise sur le site!
Merci de votre compréhension et à demain!!!
Mimie <3
Le pâté chinois
J'ai déjà entendu parlé que le pâté chinois ne vient pas de chine et que c'était un met pour les personnes travaillant sur les voies ferroviaires.Voici un site que vous pouvez vous référer:
http://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A2t%C3%A9_chinois
http://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A2t%C3%A9_chinois
lundi 19 décembre 2011
Le troll
Les trolls vivent principalement dans le nord de l'Europe. Ils aiment les pays froids comme la Suède, le Danemark, ou la Finlande. Ils vivent surtout la nuit. En effet, ils se transforment en pierre lorsqu'ils s'exposent à la lumière du jour. Ils n'ont aucun langage articulé.
Les caractéristiques:
Ils mesurent de 25 cm à 1 mètre mais peuvent atteindre 2 mètres dans des cas très rares. Ils pèsent 2 kg en moyenne. Ils ne construisent aucune maison, mais dorment dans de vieux terriers abandonnés et dans des granges désaffectées. Ils ne restent pas longtemps au même endroit et préfèrent souvent changer de paysage. Ce comportement nomade s'explique sans doute par le fait qu'un troll ayant passé un certain temps dans un même endroit, finit par s'attirer la haine de tous les habitants de la région. Comme les trolls vivent surtout la nuit, un humain a peu de chance de les rencontrer.
Et à part quelques trappeurs suédois, aucun homme n'a vu de troll. Comment savons-nous qu'ils existent vous demandez-vous ? Et bien, c'est très simple : grâce aux Krägntrolls. Ce sont des petits tas de pierres que font les trolls pour laisser trace de leur passage (voir photo). Si un jour vous allez vous promener dans le nord de l'Europe, vous ferez sûrement la rencontre de plusieurs Krägntrolls, mais les trolls n'ont pas uniquement mauvaise réputation à cause de leur physique. Ils ont en effet très mauvais caractère. Certains danois prétendent le contraire et expliquent qu'un troll ne devient méchant et agressif que lorsqu'on l'ennuie. Ils démontrent que l'on peut vivre en parfaite harmonie avec n'importe quel troll.
Mais la majorité des gens voient les trolls comme des êtres maléfiques. Ils disent que les trolls sont foncièrement méchants. Ils raconte même que si un troll s'approche du berceau d'un enfant et s'il a la bonté de ne pas le manger, cet enfant aura droit au malheur pour le reste de sa vie. Ce genre de croyances a permis à l'industrie de 'L'anti-troll' de se développer dans le nord de l'Europe. Chaque famille suédoise, danoise et finlandaise possède sa réserve 'd'Anti-troll'. Elle le place au-dessus du berceau de bébé, dans les pièce peu fréquentées comme la cave ou le grpeu fréquentées comme la cave ou le grenier et dans le frigo. Bref, c'est une industrie florissante.
Mais qui peut vraiment définir le caractère des trolls. On sait que les trolls ne sont ni sages, ni gentils. Ils sont en quelque sorte l'opposé des gnomes. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle les gnomes et les trolls sont si opposés les uns aux autres. Les trolls n'hésitent pas à attraper des gnomes (quand ils y arrivent car les gnomes sont rapides et futés) et à s'amuser avec eux. Mais sont-ils vraiment cruels et sadiques ? Non, certainement pas ! Les trolls ne sont pas foncièrement méchants. Par contre ils sont assez bêtes, voire même complètement idiots. Et le fond du problème est là ! Ces affreux petits êtres n'ont presque aucun cerveau et n'ont qu'une vague idée de ce qu'est l'intelligence. Ils ne font le mal que par ignorance. La preuve est que lorsque qu'un troll arrive à attraper un gnome, il le torture et le taquine un petit peu. Mais jamais, il ne le blesserait gravement. On n'a d'ailleurs aucun cas recensé de troll ayant provoqué la mort chez un autre être vivant. Voilà qui devrait mettre fin aux légendes exagérées qui sont racontées à propos des trolls. Cela dit, ne souhaite à personne la rencontre avec un troll. Il vaut mieux en effet éviter tout problème avec eux. Car la bêtise est parfois pire que la méchanceté.
Autant il est gai et instructif de faire la rencontre d'un gnome ou d'un farfadet, autant il est déplaisant de croiser un troll. En cas de rencontre avec un troll, voici quelques conseils qui peuvent vous éviter le pire. Il ne faut jamais regarder un troll dans les yeux, ce serait pour lui un signe de provocation. Si jamais il vous parle ne faite pas semblant de rien, il le prendrait très mal.
Lorsque vous l'écoutez parler, soyez attentif et ne lui montrez pas que vous le savez idiot. S'il vous demande de faire quelque chose, faîte semblant de la faire et rusez. Le troll n'est en effet pas très futé et n'y verra que du feu. Faîtes par contre attention, ils courent très vite !
source: http://www.viaouest.com/cr-fr-8.html
dimanche 18 décembre 2011
Le dragon
Animal fabuleux qui figure dans la mythologie et dans les légendes populaires de presque tous les pays, le dragon est l'une des créatures mythiques les plus connues et les plus mystérieuses qu'il soit données de voir dans une mythologie. Il est le plus souvent figuré sous l'aspect d'un serpent ailé, avec une tête monstrueuse. Il est recouvert d'écailles, souvent vertes, armé de griffes et de dents aiguës, d'un dard menaçant, et vomit des flammes par la bouche. Dans l'Antiquité et au Moyen Âge, le dragon joue un rôle important dans les légendes héroïques. Citons chez les Grecs les dragons de la Colchide, celui du jardin des Hespérides, ceux de la fontaine de Castalie, le monstre que tua Persée, et, au Moyen Âge, les dragons tués par le chevalier Gozon et le chevalier de Belzunce, et ceux qui figurent dans l'Arioste. La victoire sur un dragon est d'ailleurs l'exploit qui couronne la vie de maints héros légendaires du Moyen Âge: le roi Arthur, Lancelot, Tristan, Siegfried, saint Georges, saint Marcel (qui vint à bout de celui de Paris), etc. On trouve aussi des exploits de ce genre dans la mythologie scandinave et chez les peuples asiatiques, notamment dans les légendes annamites et chinoises. Le dragon figure même dans le Nouveau Testament (Apocalypse), où il symbolise la puissance de Satan; on le retrouve dans l'iconographie de saint Michel.
Monstre du Loch Ness
L'année suivante, une photographie montrant le long cou et la tête d'un énorme reptile en train de nager confirme la présence d'un animal inconnu. Prise par un respectable médecin du coin, le Dr Robert Wilson, son authenticité ne fait aucun doute. Tout le royaume est en émoi. Des nuées de reporters accourent et la chasse au monstre est ouverte.
la saint-valentin
Le jour de la Saint-Valentin, le 14 février, est considéré dans de nombreux pays comme la fête des amoureux et de l'amitié. Les couples en profitent pour échanger des mots doux et des cadeaux comme preuves d’amour ainsi que des roses rouges qui sont l’emblème de la passion.
À l’origine fête de l’Église catholique romaine, le jour de la Saint-Valentin n’aurait pas été associé avec l’amour romantique avant le haut Moyen Âge mais avec l'amour physique. La fête est maintenant associée plus étroitement à l’échange mutuel de « billets doux » ou de valentins illustrés de symboles tels qu’un cœur ou un Cupidon ailé.
À l’envoi de billets au XIXe siècle a succédé l’échange de cartes de vœux. On estime qu’environ un milliard de ces cartes sont expédiées chaque année à l’occasion de la Saint-Valentin ; ce chiffre paraît plus que suspect, quand on considère que cette fête est limitée par de nombreux aspects, aussi bien géographiques (la saint-Valentin n'est pas fêtée partout à travers « le monde »), financière (le nombre de personnes dans le monde ayant les moyens de se payer des loisirs de ce type), culturelle (les fleurs et les chocolats semblent beaucoup plus prisés que les cartes de vœux), sociale (part de célibataires dans la société). Ce chiffre ne serait battu que par le nombre de cartes échangées lors des fêtes de Noël.
Cependant, en Amérique du Nord, les échanges de cartes ne se font pas selon la conception européenne où la carte de Saint-Valentin est envoyée à une personne « unique ». Il n'est pas rare qu'une personne y envoie une dizaine de cartes, et même que des élèves d'école primaire en envoient à leur maîtresse d'école. Les chiffres indiqués deviennent en ce cas plus vraisemblables.
source: http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Saint-Valentin
À l’origine fête de l’Église catholique romaine, le jour de la Saint-Valentin n’aurait pas été associé avec l’amour romantique avant le haut Moyen Âge mais avec l'amour physique. La fête est maintenant associée plus étroitement à l’échange mutuel de « billets doux » ou de valentins illustrés de symboles tels qu’un cœur ou un Cupidon ailé.
À l’envoi de billets au XIXe siècle a succédé l’échange de cartes de vœux. On estime qu’environ un milliard de ces cartes sont expédiées chaque année à l’occasion de la Saint-Valentin ; ce chiffre paraît plus que suspect, quand on considère que cette fête est limitée par de nombreux aspects, aussi bien géographiques (la saint-Valentin n'est pas fêtée partout à travers « le monde »), financière (le nombre de personnes dans le monde ayant les moyens de se payer des loisirs de ce type), culturelle (les fleurs et les chocolats semblent beaucoup plus prisés que les cartes de vœux), sociale (part de célibataires dans la société). Ce chiffre ne serait battu que par le nombre de cartes échangées lors des fêtes de Noël.
Cependant, en Amérique du Nord, les échanges de cartes ne se font pas selon la conception européenne où la carte de Saint-Valentin est envoyée à une personne « unique ». Il n'est pas rare qu'une personne y envoie une dizaine de cartes, et même que des élèves d'école primaire en envoient à leur maîtresse d'école. Les chiffres indiqués deviennent en ce cas plus vraisemblables.
source: http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Saint-Valentin
le lapin de pâque
Le lapin de Pâques est un personnage imaginaire qui, selon la tradition, distribue, la veille du matin de Pâques, des œufs colorés et des œufs en chocolat. Il s'agit d'un lapin, Easter Bunny en anglais ou un lièvre, Osterhase en allemand.
ORIGINE:
Le lapin symbolisant autrefois la fertilité et le renouveau[réf. nécessaire] (comme le printemps), c'est dans les pays germaniques que naquit la tradition (Osterhase)[réf. nécessaire], avant d'être exporté aux États-Unis par des immigrants allemands au XVIIIe siècle. Cela viendrait d'une légende allemande dans laquelle une femme pauvre, ne pouvant offrir de chocolat à ses enfants, décora des oeufs qu'elle cacha dans le jardin. Les enfants, apercevant un lapin, crurent que celui-ci avait pondu les œufs. Depuis lors, les enfants fabriquèrent un nid qu'ils mettaient dans le jardin en espérant que le lapin de Pâques le remplirait d'œufs durant la nuit[réf. nécessaire].
Selon The Catholic Encyclopedia (1913, tome V, page 227), de nombreuses coutumes païennes se rattachèrent à la fête de Pâques. L'œuf est le symbole de germination qui se produit au printemps, et le lapin est un symbole païen qui a toujours représenté la fécondité.
Une autre origine du lapin de pâque vient des Saxons où on honorait au printemps la déesse Eastre, qui a d’ailleurs donné son nom à Easter (Pâques en anglais). Le lièvre étant l’animal emblématique de la déesse, il est resté associé aux fêtes de Pâques. De manière similaire, dans les traditions celtiques et scandinaves, le lièvre était le symbole de la déesse mère[1].
La traduction exacte de Osterhase est lièvre de Pâques, et non pas lapin de Pâques.
source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Lapin_de_P%C3%A2ques
ORIGINE:
Le lapin symbolisant autrefois la fertilité et le renouveau[réf. nécessaire] (comme le printemps), c'est dans les pays germaniques que naquit la tradition (Osterhase)[réf. nécessaire], avant d'être exporté aux États-Unis par des immigrants allemands au XVIIIe siècle. Cela viendrait d'une légende allemande dans laquelle une femme pauvre, ne pouvant offrir de chocolat à ses enfants, décora des oeufs qu'elle cacha dans le jardin. Les enfants, apercevant un lapin, crurent que celui-ci avait pondu les œufs. Depuis lors, les enfants fabriquèrent un nid qu'ils mettaient dans le jardin en espérant que le lapin de Pâques le remplirait d'œufs durant la nuit[réf. nécessaire].
Selon The Catholic Encyclopedia (1913, tome V, page 227), de nombreuses coutumes païennes se rattachèrent à la fête de Pâques. L'œuf est le symbole de germination qui se produit au printemps, et le lapin est un symbole païen qui a toujours représenté la fécondité.
Une autre origine du lapin de pâque vient des Saxons où on honorait au printemps la déesse Eastre, qui a d’ailleurs donné son nom à Easter (Pâques en anglais). Le lièvre étant l’animal emblématique de la déesse, il est resté associé aux fêtes de Pâques. De manière similaire, dans les traditions celtiques et scandinaves, le lièvre était le symbole de la déesse mère[1].
La traduction exacte de Osterhase est lièvre de Pâques, et non pas lapin de Pâques.
source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Lapin_de_P%C3%A2ques
la fée
Une fée est un être imaginaire, généralement décrit comme anthropomorphe et du genre féminin (très rarement masculin), d'une grande beauté, capable de conférer des dons aux nouveau-nés, de voler dans les airs, de lancer des sorts et d'influencer le futur. L'idée que l'Homme se fait des fées varie en fonction des cultures et des pays : revenants, anges déchus, élémentaires ou même humains, minuscules ou de taille humaine, toutes sont étroitement liées aux forces de la nature et au concept de monde parallèle. Ainsi, la Befana, la dame blanche, la sirène, les dryades, la fée Morgane et une grande variété d'êtres et de créatures généralement féminines sont considérés comme des « fées ». Les Anglo-Saxons utilisent le terme de « fairies » pour désigner les fées, mais également toutes les petites créatures anthropomorphes telles que les lutins, les nains et les elfes.
Issues des croyances populaires et de mythologies anciennes, de la littérature inspirée du folklore et des contes celtiques ainsi que d'anciennes divinités païennes, les fées sont une création de l'Occident médiéval. Elles jouent des rôles très variés, si elles aident, soignent, guident des personnes ou leur fournissent des armes enchantées, d'autres fées sont plus connues pour leurs « tours », leur habitude de danser en cercle et d'enlever des personnes, en particulier les nouveau-nés humains qu'elles remplacent par un changeling, ou encore celle de déguiser leur apparence et ce qui les entoure. Les fées font partie intégrante des croyances populaires dans des régions comme l'Écosse, l'Irlande, la Bretagne (anciennement l'Armorique), l'Islande et la Scandinavie, où des précautions à tenir envers elles ont été popularisées par le folklore, et sont également connues des folklores allemand, français et wallon. Au XXIe siècle, elles font toujours l'objet de croyances et de tous temps, des personnes ont affirmé les voir, communiquer avec elles ou invoquer leur aide.
Dès le XIIe siècle, deux grandes figures féeriques se distinguent dans la littérature d'Europe de l'Ouest : la fée marraine et la fée amante. Bien connues de la littérature médiévale, les fées disparaissent des récits à l'arrivée de la Renaissance, pour réapparaître sous de nouvelles formes dans Le Songe d'une nuit d'été de William Shakespeare, et les contes de fées qui modifient leur taille, leur apparence et leur symbolique. Les petites fées anglo-saxonnes sont popularisées durant l'époque victorienne, notamment par la peinture féerique. Elles sont désormais des personnages incontournables de la littérature fantastique et fantasy et du cinéma, entre autres grâce à Walt Disney qui les a largement popularisées aux États-Unis, à l'intérêt né des romans de Tolkien, et à des films comme Dark Crystal. Elles ont été abondamment étudiées et mises en avant par des spécialistes comme Katharine Mary Briggs, les illustrateurs Cicely Mary Barker, Brian Froud et Alan Lee, et l'elficologue Pierre Dubois à qui l'on doit, en France, la redécouverte du folklore qui leur est lié.
source: http://fr.wikipedia.org/wiki/F%C3%A9e
Issues des croyances populaires et de mythologies anciennes, de la littérature inspirée du folklore et des contes celtiques ainsi que d'anciennes divinités païennes, les fées sont une création de l'Occident médiéval. Elles jouent des rôles très variés, si elles aident, soignent, guident des personnes ou leur fournissent des armes enchantées, d'autres fées sont plus connues pour leurs « tours », leur habitude de danser en cercle et d'enlever des personnes, en particulier les nouveau-nés humains qu'elles remplacent par un changeling, ou encore celle de déguiser leur apparence et ce qui les entoure. Les fées font partie intégrante des croyances populaires dans des régions comme l'Écosse, l'Irlande, la Bretagne (anciennement l'Armorique), l'Islande et la Scandinavie, où des précautions à tenir envers elles ont été popularisées par le folklore, et sont également connues des folklores allemand, français et wallon. Au XXIe siècle, elles font toujours l'objet de croyances et de tous temps, des personnes ont affirmé les voir, communiquer avec elles ou invoquer leur aide.
Dès le XIIe siècle, deux grandes figures féeriques se distinguent dans la littérature d'Europe de l'Ouest : la fée marraine et la fée amante. Bien connues de la littérature médiévale, les fées disparaissent des récits à l'arrivée de la Renaissance, pour réapparaître sous de nouvelles formes dans Le Songe d'une nuit d'été de William Shakespeare, et les contes de fées qui modifient leur taille, leur apparence et leur symbolique. Les petites fées anglo-saxonnes sont popularisées durant l'époque victorienne, notamment par la peinture féerique. Elles sont désormais des personnages incontournables de la littérature fantastique et fantasy et du cinéma, entre autres grâce à Walt Disney qui les a largement popularisées aux États-Unis, à l'intérêt né des romans de Tolkien, et à des films comme Dark Crystal. Elles ont été abondamment étudiées et mises en avant par des spécialistes comme Katharine Mary Briggs, les illustrateurs Cicely Mary Barker, Brian Froud et Alan Lee, et l'elficologue Pierre Dubois à qui l'on doit, en France, la redécouverte du folklore qui leur est lié.
source: http://fr.wikipedia.org/wiki/F%C3%A9e
le père noël
Le père Noël est un personnage légendaire et mythique lié à la fête de Noël. Bien que la tradition du père Noël ait des origines en Europe du Nord, il est popularisé aux États-Unis au XIXe siècle. Le terme « père Noël » apparaît plus tardivement en France, au début du XXe siècle. Qu'il soit appelé Father Christmas ou Santa Claus en anglais, Weihnachtsmann en allemand, ou Père Noël, sa fonction principale est de distribuer des cadeaux aux enfants dans les maisons pendant la nuit de Noël qui a lieu chaque année du 24 au 25 décembre.
Le père Noël est l'équivalent français du Santa Claus américain dont le nom est lui-même une déformation du Sinterklaas (saint Nicolas) néerlandais. Il est aussi largement inspiré de Julenisse, un lutin nordique qui apporte des cadeaux, à la fête du milieu de l'hiver, la Midtvintersblot, ainsi que du dieu celte Gargan, (qui inspira le Gargantua de Rabelais) et du dieu viking Odin, qui descendait sur terre pour offrir des cadeaux aux enfants scandinaves. De Julenisse, le Père Noël a gardé la barbe blanche, le bonnet et les vêtements en fourrure rouge.
Même si le mythe peut varier fortement d'une région à l'autre, notamment à cause du climat du 25 décembre qui peut aller du début de l'hiver dans l'hémisphère nord au début de l'été dans l'hémisphère sud, on l'imagine généralement comme un gros homme avec une longue barbe blanche, habillé de vêtements chauds de couleur rouge avec un liseré de fourrure blanche ; des lutins l'aident à préparer les cadeaux. Il effectue la distribution à bord d'un traîneau volant tiré par des rennes (ou sur une planche de surf en Australie).
Il entre dans les maisons par la cheminée et dépose les cadeaux dans des chaussures disposées autour du sapin de Noël ou devant la cheminée (en France), dans des chaussettes prévues à cet effet accrochées à la cheminée (en Amérique du Nord et au Royaume-Uni), ou tout simplement sous le sapin. En Islande, il dépose un petit cadeau dans une chaussure que les enfants laissent sur le bord d'une fenêtre dès le début du mois de décembre. Au Québec, les cadeaux au pied du sapin sont de mise, en plus des « bas de noël » disposés sur la cheminée dans lesquels on met les petites surprises.
Contrairement à d'autres personnages de fiction, le père Noël est habituellement présenté aux enfants comme étant un être réel. Selon les familles, la tradition veut soit que l'enfant fasse une liste de cadeaux qu'il désire pour Noël, soit que le père Noël décide « lui-même » quels cadeaux mérite l'enfant.
source: http://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A8re_No%C3%ABl
Pourquoi la moufette pue-t-elle?
Il était une fois des animaux sans défenses. Un jour, les animaux ce sont réunient pour leur donner des idées pour moyens de défenses. Tous en trouvèrent sauf la moufette. Le loup proposa de griffer ses ennemis, mais elle n'avait pas de griffes. Le porc-épiques lui conseilla de piqué ses ennemis, mais pour ce cas, malheureusement, elle n'avait pas de piques. Les ratons laveurs lui proposèrent de puer. Par exemple, celui-ci marcha! Elle alla dans une poubelle pour pouvoir commencer à puer! Il y avait une seule chose qu'elle ne pouvait pas se défendre contre... ...l'auto! C'est depuis ce temps que pue toutes les moufettes! Voici la légende des moufettes qui puent!!!!
la dame blanche
Dame blanche au sommet d'une tour. Gravure de Léon Benett parue dans le roman Le Château des Carpathes de Jules Verne en 1892.
L’appellation dame blanche est donnée à des mythes ou apparitions de natures diverses. Il peut s'agir :
- d’entités surnaturelles tenant les rôles de fées, de sorcières, de lavandières de la nuit ou d'annonciatrices de mort prochaine ;
- de fantômes de femmes décédées lorsqu'il s'agit de spectres hantant des châteaux ou d’auto-stoppeuse fantômes.
Typologie[modifier]
Les fées[modifier]
Dans le folklore ancien, il s'agit de fées, moitié déesses, moitié sorcières, que l’on rencontre dans tous les pays du monde. Elles ont une parenté évidente avec la reine Guenièvre[N 1] de la légende arthurienne et la fée Mélusine. Elles habitent les nuits des landes et les forêts et s’attaquent parfois aux rares passants[1].Pour le savant jésuite Martín Antonio Delrío :
- « Il y a une sorte de spectres peu dangereux qui apparaissent en femmes toutes blanches dans les bois et dans les prairies; parfois on les voit dans les écuries, tenant des chandelles allumées dont elles laissent tomber des gouttes sur le toupet et les crins des chevaux, qu’elles peignent et qu’elle tressent ensuite fort proprement. »[2]
- la chute Montmorency (Québec) ;
- Tonneville (France, Manche) ;
- le lac de Paladru (France, Isère) ;
- de nombreux lieux dans les Pyrénées (daunas blancas, damas blancas), notamment des grottes ayant constitué des habitats préhistoriques. En Comminges, les Aubegas, en Barousse, les Blanquetas[3].
En Ariège, une dame blanche, princesse aragonaise, vivait au château de Puivert, au pied d’un lac. En 1289, une violente crue de l'Hers provoqua la rupture du verrou du lac de Puivert. Les eaux se répandirent dans la vallée, détruisant l’ancienne ville de Mirepoix. La catastrophe fut imputée à l'intervention de la dame blanche[5].
Les lavandières[modifier]
- « On appelle lavandière de nuit des femmes blanches qui lavent leur linge en chantant, au clair de lune, dans les fontaines écartées ; elles réclament l’aide des passants pour tordre leur linge et cassent les bras à qui les aide de mauvaise grâce. »[6]
Article détaillé : Lavandière (folklore).
Les messagères[modifier]
Selon Érasme: « Un des faits les plus connus demeure l’apparition de la dame blanche aux familles princières. »[8]. Au début du XVIe siècle de nombreuses grandes familles aristocratiques européennes avaient leur dame blanche attitrée. Plus stylées que leurs ancêtres, elles ne hurlent pas et peuvent même parfois se montrer protectrices, telle la « dame blanche de Krumlov », attachée à la puissante famille Rožmberk (Rosenberg) de Bohème qui apparut plusieurs fois en 1539 auprès de l’héritier nouveau-né[9]. La dame blanche attachée à la maison germanique des Neuhaus est ambivalente, elle annonce une mort si elle porte des gants noirs, mais aussi un heureux présage si ses gants sont blancs. On trouve des dames blanches attachées aux Habsbourg, aux Hohenzollern, aux Brunswick, aux Brandebourg, aux Bade, aux Pernstein[9],[10]. Une dame blanche serait aussi apparue à l’empereur Charles Quint en 1558, la veille de sa mort, au monastère de Yuste où il s’était retiré. C’est cette dame blanche qui a donné lieu à la personnalité de la « Nonne Sanglante »[11].
La double apparition d’une dame blanche au prince Louis-Ferdinand de Prusse, la veille et le jour de sa mort tragique sur le champ de bataille de Saalfeld, eut pour témoin le comte Grégoire Nortiz qui, prussien d’origine, passa en 1813, au service de la Russie et mourut, en 1838, aide-de-camp du Tzar Nicolas. Le comte Nortiz rédigea, quelques heures après l’évènement survenu au château du duc de Schwarzbourg-Rudolstadt le 9 octobre 1806 vers minuit, un récit qui est conservé dans les archives de la Maison des Hohenzollern»[11].
En juillet 1832, c'est à l'Aiglon, fils de Napoléon Ier, qu'elle serait apparue la veille de sa mort.
En novembre 1835, alors que le prince de Montfort résidait à Stuttgart auprès de son oncle le roi Guillaume Ier de Wurtemberg, une dame blanche serait apparue dans une galerie du vieux château, annonçant par sa présence l'imminence d'un décès. Le présage, rapporté par des sentinelles, aurait été pris au sérieux par le roi, qui s'inquiéta pour sa sœur, la princesse Catherine de Wurtemberg, mère du prince de Montfort. Celle-ci mourut effectivement à Lausanne le 29 novembre 1835.
Cette même dame blanche, que la tradition présentait comme le spectre d'une folle infanticide, serait déjà apparue en 1819 à la veille de la mort de Catherine Pavlovna de Russie, seconde épouse du roi Guillaume[12].
En 1889 un domestique aurait vu une dame blanche roder dans le parc de Mayerling la nuit du célèbre drame. Pendant son séjour à Caux, près de Montreux, l'impératrice Sissi prétendit, le 30 août 1898, avoir vu distinctement la dame blanche la nuit, soit 11 jours avant son assassinat à Genève[13]. Une dame blanche semble avoir annoncé la mort prématurée du grand-duc Viatcheslav Constantinovitch de Russie.
Les spectres[modifier]
De nos jours, les dames blanches semblent avoir cessé d’annoncer les décès aristocratiques, mais elles restent très présentes en tant que fantômes de lieux (grande hantise), essentiellement dans des châteaux ou des abbayes, où elles sont fréquemment supposées garder un trésor légendaire :- « En plusieurs endroits se promènent des dames blanches, qui recherchent surtout le voisinage des anciens châteaux. »[14]
- l’abbaye de Mortemer (France, Eure);
- le château de Puilaurens (France, Aude);
- le château de Puymartin (France, Dordogne);
- le château de Trécesson (France, Morbihan);
- le château de la Boursidière (France, Hauts-de-Seine);
- le château de Mourioche (France, Côtes-d'Armor);
- le château d’Arlempdes (France, Haute-Loire);
- le château du Hohenbourg (France, Bas-Rhin);
- le château de Pouancé (France, Maine-et-Loire);
- le château de Landreville (France, Ardennes);
- le château de Frœningen (France, Haut-Rhin);
- le château de Fougères-sur-Bièvre (France, Loir-et-Cher);
- le château de Rouelbeau, (Suisse, Canton de Genève)
- etc.
Les dames vertes[modifier]
Il semble que les dames vertes ne diffèrent des dames blanches, qu’elles soient fées ou spectres, que par la couleur de leur vêtement. Il faut peut-être chercher leur origine dans la tradition du Pays de Galles qui veut que les fées soient habillées de vert afin de mieux se cacher dans les feuillages[15]. Il ne s’agit pas d’une variante exceptionnelle, car elles sont signalées dans de nombreux lieux:- au château du Rocher (France, Mayenne);
- au château de Caerphilly (Pays de Galles);
- au château de Crathes (Écosse);
- au château de Bouillé (France, Mayenne);
- au château de Stirling (Écosse);
- au château de Brissac (France, Maine-et-Loire);
- au château de Fyvie (Écosse).
Les auto-stoppeuses fantômes[modifier]
Une évolution récente du mythe de la dame blanche est celui de l’auto-stoppeuse fantôme. Il s’agit presque exclusivement d’apparitions de jeunes femmes, même s’il existe quelques cas d’autostoppeurs. Dans le scénario le plus courant, une jeune femme habillée en blanc fait de l’autostop la nuit et, après être montée dans un véhicule, disparaît brusquement, soit à l’approche d’un passage dangereux en poussant un cri d’alarme, soit en arrivant à une adresse donnée. Ce phénomène est connu un peu partout dans le monde et est généralement considéré comme appartenant aux légendes urbaines.Contrairement aux dames blanches « fées » ou « messagères » qui sont des entités[N 2], les auto-stoppeuses fantômes semblent être toujours le fantôme d’une personne contemporaine décédée accidentellement.
Article détaillé : Auto-stoppeuse fantôme.
Les reines de France[modifier]
- « Brantôme auroit dû ajouter que la Reine Anne fut la première Reine de France, qui après la mort de Charles VIII (1498) changea la couleur de l’habit de deuil porté par ses semblables; c’étoit le blanc, & elle prit le noir »[18]
- « Sous le règne de Henri III (1551-1589), on appelait encore reines blanches les reines veuves de nos rois. « Henri III en arrivant à Paris, alla saluer la reine blanche,» dit l’Estoile: c’était Élisabeth d’Autriche, veuve de Charles IX. »
Origines du mythe
Outre des origines purement imaginaires, certains évènements nocturnes peuvent avoir stimulé, sans nécessairement le créer, le mythe des dames blanches champêtres. Pour les lavandières de la nuit, il s’agit du coassement rythmé de certaines grenouilles reproduisant le bruit des battoirs, la nuit au bord des mares. Une autre explication serait la vision de certains rapaces nocturnes, telle la chouette effraie, dont un des surnoms est précisément « dame blanche ».- « Elle était haute comme un jeune garçon avec un plumage blanc dans lequel la lune donnait de tous ses feux. De loin, et mes cheveux s’en sont dressés sur la tête, on aurait dit une dame blanche. Ma terreur ne fit que s’accroître lorsqu’elle poussa un cri semblable à celui d’une femme qu’on égorge… »
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